De gauche à droite : Pierre Fourques (DG Axis Airways), Pierre-Olivier Di Fusco et Jérôme Guichard (DC Réseau régulier). Le nouveau président (au centre) aux côtés de deux des quatre fondateurs d’Axis
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Prado Finance a annoncé mardi qu’il prenait une participation de 65% dans le capital d’Axis Airways (LIRE). La société d’investissement belge conforte ainsi la structure financière de la compagnie aérienne marseillaise.
De quoi permettre au transporteur de se fixer de nouvelles ambitions. «Axis veut devenir l’acteur de référence sur le marché charter français», a indiqué Pierre-Olivier Di Fusco, le nouveau président du groupe aérien, hier, au cours d’un point presse.
Axis va ainsi pourvoir intégrer un second B757-200 (225 sièges) en propre dans sa liste de flotte en juin prochain, avec ses équipages. Les B757 lui permettent de «combler un vide» existant sur le marché, soit celui des liaisons moyen-long courrier (5 à 8 heures de vol au départ de Paris).
Caraïbes et océan Indien
Avec l’arrivée de Prado, Axis étudie aussi l’intégration de modules long-courrier pour cet hiver 2006-2007, peut-être même avant cette échéance. La flotte de la compagnie se renforcerait alors de deux B 767. De nombreux voyagistes sont intéressés par ce module, dont le Club Med/Jet Tours et Nouvelles Frontières.
Les vols seraient opérés très probablement sur les Caraïbes et l’océan Indien. Les atouts d’Axis ? «Nous ne sommes pas adossé à un TO et pouvons répondre à tous les voyagistes de la place», a souligné Pierre-Olivier Di Fusco : «C’est une force d’être indépendant».
Sur un marché du charter en plein bouleversement, Axis note par ailleurs que les récents incidents aériens favorisent les compagnies des pays d’origine.
Le transporteur, dont le siège est à Marseille et qui possède des bases à Lyon et Paris-Roissy, exploite aujourd’hui cinq appareils : un B 737-400 (170 sièges), trois B 737-300 (147 sièges) et depuis l’an dernier un B 757-200-ER (225 sièges).
De quoi permettre au transporteur de se fixer de nouvelles ambitions. «Axis veut devenir l’acteur de référence sur le marché charter français», a indiqué Pierre-Olivier Di Fusco, le nouveau président du groupe aérien, hier, au cours d’un point presse.
Axis va ainsi pourvoir intégrer un second B757-200 (225 sièges) en propre dans sa liste de flotte en juin prochain, avec ses équipages. Les B757 lui permettent de «combler un vide» existant sur le marché, soit celui des liaisons moyen-long courrier (5 à 8 heures de vol au départ de Paris).
Caraïbes et océan Indien
Avec l’arrivée de Prado, Axis étudie aussi l’intégration de modules long-courrier pour cet hiver 2006-2007, peut-être même avant cette échéance. La flotte de la compagnie se renforcerait alors de deux B 767. De nombreux voyagistes sont intéressés par ce module, dont le Club Med/Jet Tours et Nouvelles Frontières.
Les vols seraient opérés très probablement sur les Caraïbes et l’océan Indien. Les atouts d’Axis ? «Nous ne sommes pas adossé à un TO et pouvons répondre à tous les voyagistes de la place», a souligné Pierre-Olivier Di Fusco : «C’est une force d’être indépendant».
Sur un marché du charter en plein bouleversement, Axis note par ailleurs que les récents incidents aériens favorisent les compagnies des pays d’origine.
Le transporteur, dont le siège est à Marseille et qui possède des bases à Lyon et Paris-Roissy, exploite aujourd’hui cinq appareils : un B 737-400 (170 sièges), trois B 737-300 (147 sièges) et depuis l’an dernier un B 757-200-ER (225 sièges).